PANEL SUR "femme média et gouvernance"
Un panel a réuni ce Mercredi Etudiants et Enseignants à la case- foyer du CESTI, autour du thème《 femme, média et gouvernance》. Organisé par l'institut PANOS en partenariat avec le CESTI. Un cadre d'échange dans lequel les panélistes ont communie avec un public journalistique, venu nombreux.
Ce fut un après midi riche en pédagogie et fructueux, qui a débuté par une brève introduction sur la motivation du panel, par le modérateur Mr MANDIANG Lamine, qui à son entame n'a fait que rappeler le sens du panel, sans oublier de présenter les panelistes du jour respectivement: Mr. Mame Less CAMARA, journaliste, formateur au CESTI, Mr.Libasse HANE chargé de projets gouvernance à l'institut PANOS,et Mme Mingue NIASSE,spécialiste en plaidoyer.
Mr.CAMARA dans son intervention s'est beaucoup appesanti sur le rôle fondamental que la presse joue auprès de l'opinion publique sur l'image de la femme. Des illustrations comme la femme fait vendre à la presse:les fait divers sur l'excision, la violence conjugale,la prostitution,le harcèlement sexuel,le divorce,le viol...
La presse tire leur choux gras sur les faits divers,en plus de cela les publicités qui sont loin de donner une image reluisante aux femmes. Selon son expression, la femme est utilisée souvent comme " pourvoyeuse d'histoires succulentes". Il a appelé à plus de discernement et d'équité dans le traitement de ces informations.
Quant à Mme Niasse,elle a souligné surtout la difficulté quand au traitement des informations concernant la femme(qu'il est difficile de faire passer un article concernant les activités de la femme). Dans la même dynamique, elle a évoqué l'autre préjudice fait aux femmes,à savoir, ses prouesses et performances sont moins dites et la plupart occultées,la presse se contente et préfère les articles qui font vendre(la facette sombre de la femme).
Ce fut un après midi riche en pédagogie et fructueux, qui a débuté par une brève introduction sur la motivation du panel, par le modérateur Mr MANDIANG Lamine, qui à son entame n'a fait que rappeler le sens du panel, sans oublier de présenter les panelistes du jour respectivement: Mr. Mame Less CAMARA, journaliste, formateur au CESTI, Mr.Libasse HANE chargé de projets gouvernance à l'institut PANOS,et Mme Mingue NIASSE,spécialiste en plaidoyer.
Mr.CAMARA dans son intervention s'est beaucoup appesanti sur le rôle fondamental que la presse joue auprès de l'opinion publique sur l'image de la femme. Des illustrations comme la femme fait vendre à la presse:les fait divers sur l'excision, la violence conjugale,la prostitution,le harcèlement sexuel,le divorce,le viol...
La presse tire leur choux gras sur les faits divers,en plus de cela les publicités qui sont loin de donner une image reluisante aux femmes. Selon son expression, la femme est utilisée souvent comme " pourvoyeuse d'histoires succulentes". Il a appelé à plus de discernement et d'équité dans le traitement de ces informations.
Quant à Mme Niasse,elle a souligné surtout la difficulté quand au traitement des informations concernant la femme(qu'il est difficile de faire passer un article concernant les activités de la femme). Dans la même dynamique, elle a évoqué l'autre préjudice fait aux femmes,à savoir, ses prouesses et performances sont moins dites et la plupart occultées,la presse se contente et préfère les articles qui font vendre(la facette sombre de la femme).
S'agissant du dernier paneliste Mr HANE est revenu sur un autre aspect peu dit pourtant loin d'être le moins important:la place de la femme dans la gouvernance. Quand la femme participe aux prises de décisions et au contrôle, elle sera moins victime de certaines décisions phallocrates. D'après lui dans la plupart des pays, c'est l'équation 52/48,respectivement plus de femmes que d'hommes. Paradoxalement, elles pèsent peu dans les prises de décisions.
Il a évoqué également un triste constat,la vulnérabilité de la femme pendant les conflits: elles payent toujours un lourd tribut,violées, torturées,utilisées comme un objet...
Au finish tous,ont convergé sur le rôle prépondérant que la presse peut jouer pour redresser la barre, pour dire enfin que l'heure de la réhabilitation de la femme a sonné. Vivement la participation active des journalistes!
Il a évoqué également un triste constat,la vulnérabilité de la femme pendant les conflits: elles payent toujours un lourd tribut,violées, torturées,utilisées comme un objet...
Au finish tous,ont convergé sur le rôle prépondérant que la presse peut jouer pour redresser la barre, pour dire enfin que l'heure de la réhabilitation de la femme a sonné. Vivement la participation active des journalistes!
BARRYOLOGIE INFOS!
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